• Quelques images pour vous montrer ce qui traine (si, si c'est la mot) sur ma table de travail...

    En attente...

    Et non, contrairement à ce que me demandent mes enfants, ce ne sont pas des sucettes... !


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  • Je voulais vous montrer la première utilisation de ma cane kaléidoscope puisque j'ai fini de monter le premier collier. J'ai écrit l'article et importé mes photos. Mais non, là ce n'était vraiment pas possible, le manque de lumière est tel que les photos sont moches, vraiment moches. Donc ce sera peut-être pour plus tard... en été ?

    Plus sérieusement donc voilà un petit pendentif très simple mais que j'aime beaucoup. Plein de couleurs, plein de couches de structure. Ca vous dit quelque chose ce genre de texture, vous savez comment faire ? Non vraiment ? Réfléchissez bien, je suis presque sûre que vous savez... Je vous donne la solution dès que j'aurais trois propositions tiens !

    Météo...

    A suivre !


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  •  

    Ca c'est cuit maintenant... mais je manque de temps pour poursuivre. Et je sais déjà que ce ne sera pas ce soir...

    en route pour la cuisson

     


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  • J'avais envie de quelque chose qui change un peu des fleurs roses dans lesquelles j'ai baigné ces derniers temps. J'avais envie de couleurs. J'aime donc pris ca (oui, là ce sont les restes, je n'ai évidemment pas pensé à faire les photos avant !)

    les couleurs

    Et puis à moitié au pif, à moitié sur la base de vieux souvenirs j'ai fait des petites canes dont voilà les restes:

    Cane kaleidoscope

    Et avec ces petites canes j'ai composé la base de la cane kaléidoscope. Voilà avant la première réduction:

    La première cane, non réduite

     

    J'ai réduit et comme mon triangle est équilatéral j'ai coupé en ... 6 troncons. Si... j'insiste  là dessus c'est parce que la première fois que j'ai fait ce genre de cane (la seule d'ailleurs) j'avais coupé en 4... Et 4 ca marche très bien pour faire un carré quand les triangles sont isocèles mais sinon, on se retrouve bien coincée... Quelques dizaines de minutes plus tard se pose l'épineuse question du choix du motif. Alors plutôt ca ou ca ?

    Cane kaleidoscope Cane kaleidoscope

    J'ai choisi la seconde solution.. Après nouvelle réduction, nous voilà ici:

    Cane kaleidoscope

    Et beaucoup plus tard, je suis arrivée à ca:

    Cane kaleidoscope

    Comment vous la trouvez cette plaque ?


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  • Comme promis il y a quelques temps, voici quelques photos qui expliquent comment faire un dégradé en pâte fimo. Rien de révolutionnaire ni même de nouveau pour ceux et celles qui pratiquent, mais ca répondra peut-être à ceux et celles qui me demandent "mais comment tu fais ?".

    A la base il faut de la pâte, deux couleurs ou plus, tout est possible. L'exemple ci-dessous montre le déroulement avec deux couleurs mais une fois que vous avez compris le principe vous saurez vite comment on fait avec plus. Il est aussi beaucoup plus facile de faire un dégradé avec la fameuse "machine à pâte" ou MAP que l'on retrouve dans la majorité des tutoriels. C'est une vraie machine à faire des pâtes, telle qu'on la trouve dans les magasins de cuisine ou d'aménagement de la maison. La mienne vient de mon papa, qui ne fait plus de pâtes, et est donc dédiée maintenant exclusivement à la fimo. Voyons donc ces photos:

    Deux plaques de pâte coupées en biais et s'ajustant l'une à l'autre. Le biais déterminera la longeur de l'évolution du dégradé. Plus le biais est penché plus le dégradé sera progressif.

    Préparation de la plaque

    On plie en deux. C'est là où il faut être attentif la première fois. Il faut plier de manière à ce qu'il reste toujours une bande de rose sur le rose et de noir sur le noir. Je m'explique, si vous pliez suivant une pliure verticale, les couleurs vont se mélanger complétement et il n'y aura plus de dégradé. En pliant selon une ligne horizontale, les couleurs vont se mélanger selon le biais et c'est là que le dégradé va se former. Zou, on plie:

    Premier pliage

    Et on passe dans la machine à pâte, au cran le plus épais:

    Passage dans la MAP

    Au bout d'une dizaine de pliage et de passage dans la machine, on voit le dégardé se former et on obtient cela:

    Après 10 pliages environ...

    En enfin, après une vingtaine de passage le dégradé final:

    Dégradé final

    Notez que la proportion de noir et de rose était à peu près indentique au début et que le noir a pris le dessus. De manière générale les couleurs sombres "mangent" beaucoup les couleurs claires, il faut en tenir en compte dans l'élaboration.

    Ensuite deux petits passages dans la MAP pour étirer tout cela. Là par contre, attention, on a tourné la plaque d'un quart de tour avant de la mettre dans la machine pour allonger le sens du dégradé,

    Et voilà !

    Après on en fait plein de choses, un exemple par ...

    Est-ce à peu près clair ? Avez vous des questions ?


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  • Bonjour à tous,

    J'espère que vous avez passé un bon week-end. Le mien fût bon mais avec plein de monde à la maison. Je n'ai donc pas encore eu le temps de faire de photo du sautoir "aux couleurs multivitaminées" dont je vous parlais la semaine dernière. Mais par contre, comme j'avais fait des photos pendant la confection de la cane, je peux vous montrer comment on réduit une cane, et par la même occasion, ce qu'est une réduction la Play-Doh dont je vous parlais là.

    Voilà donc la cane finie, enroulée dans une fine bande de pâte à modeler "Play Doh" avec les creux ensuite remplis avec de la fimo normale. La Play Doh est bleue ici, on la distingue bien sur la photo, la fimo pour boucher les trous est marron, un bon vieux mélange de plein de restea, dite pâte beurk ou pâte scrap pour les initiés. On obtient donc ca, 5 cm de diamètre sur environ 2 cm de haut.

    Avant réduction...

    Et là, on patiente (si, si c'est important, croyez moi), on laisse refroidir la pâte, qui a bien été chauffée lors de la création. Les impatientes comme moi passeront sans doute par la case "frigo", histoire d'accélérer la mise en température de tout ca. Une fois tout bien refroidi,  on prend la cane dans la main et on presse doucement par le milieu, en écrasant régulièrement, sans forcer et surtout sans tourner. Petit à petit le diamètre diminue et le cylindre s'allonge. Et on panique....

    On commence à réduire Et on réduit encore  

    ...parce que le motif disparait... oups... Toutes les fimoteuses connaissent ce moment de stress la première fois je pense...

    Mais mon motif ? Il est où mon motif ???

    Et toutes les fimoteuses continuent, je pense, à ressentir un petit moment d'exaltation lorsqu'elles coupent ensuite le cylindre à quelques centimètres du bout pour laisser apparaître le dessin :

    Quand on coupe.... ouf !

    Ouf !...

    Pour une cane "normale", c'est fini, il n'y a plus qu'à couper les tranches et les utiliser. Pour la cane d'aujourd'hui, il y a encore un peu de travail, il faut l'éplucher C'est là que la Play-Doh rentre en jeu. De par sa composition j'imagine, elle ne s'est pas amalgamée avec la fimo. Il ne reste alors plus qu à la peler, ce qui est un peu long mais pas bien difficile :

    Début d'épluchage  En cours d'épluchage !

    Et voilà :

    Et voilà !

    Bon, et là c'est un peu dommage je vous l'accorde, car j'ai oublié de faire une jolie photo des canes une fois bien nettoyées, dans mon impatience de les utiliser... Mais vous aurez compris la méthode et c'est le principal.

    Astuce: pour celles qui n'auraient pas de Play-Doh sous la main et qui se disent que ca ira bien avec la pâte à modeler de leur enfants -"après tout de la pâte à modeler c'est dela pâte à modeler, non ?"- et bien non, ca ne fonctionne pas. Croyez en mon expérience, j'ai essayé deux fois...

    A bientôt !

      


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  • Comme promis, voilà donc quelques photos pour ceux qui se demandent comment naît une cane. Il s'agit donc de ma première cane, faite lors de mon stage de débutante (animée par Irène). 3 couleurs: marron, chair et blanc.

    Il faut d'abord faire deux dégradés comme ci-dessous (le "comment faire le dégradé "c'est pour une autre fois !). Ensuite on les étire et on les roule sur eux même en faisant attention à ne pas laisser d'air entre les couches. On compacte un peu pour obtenir un cylindre d'environ 5cm de haut.

    Deux plaques dégradées Plaque étirée puis roulée

    On coupe en 4 ou 5 dans le sens de la hauteur et on les chevauche comme sur la photo. Et on compacte, ça s'appelle une réduction, une première fois....

    Mise en place... Après premier compactage...

    On coupe en deux dans le sens de la hauteur, on met les morceaux cote à côet et on recommence... Sur la seconde photo, le pétale commence même à prendre en forme.

    Avant seconde réduction... Après seconde réduction

    Et puis on étire le tout sur la longueur de manière à pourvoir couper 5 pétales dans la hauteur. L'assemblage suit directement avec un petit cylindre blanc en guise de coeur. On comble les trous avec la couleur choisie pour le fond (ici noir pour moi) et on entoure le tout d'une fine bande de pâte. Le choix de la couleur de remplissage est primordial selon l'usage qu'on veut ensuite faire de la cane, je vous en parlerais une autre fois...

    Assemblage de la fleur Juste avant réduction finale..

    Et ensuite, on réduit. Pas de photo de cette étape, je n'en ai pas pris pendant le stage bien trop concentrée que j'étais à ne pas rater cette étape importante. Mais ça viendra.

    Et voici ce que j'ai fait cuire (parce que oui, ça cuit, ça aussi plus tard !) à l'issue de cette fameuse première journée, vous pouvez reconnaitre les pièces du mon premier collier, :

    Le futur collier... Et ça c'est encore dans ma boîte "à monter"

    Et voilà, vous en savez autant que moi

    A très bientôt et bonne journée


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  •  Comme promis hier, voilà une petite explication pour ceux qui ne connaissent pas le principe de la cane : dans le jargon de la pâte polymère, on appelle "cane" un cylindre de pâte dans lequel un motif est présent dans la masse  (c'est ca qui fait tout l'intérêt!). En clair, dans l'image ci dessous, si on coupe le cylindre à n'importe quel niveau dans le sens de son diamètre on retrouve le motif. C'est magique ! Voilà donc, ma première cane, ainsi que celle que j'ai fait plus récemment pour l'accompagner sur un pendentif que je vous montrerais bientôt...

    "The" première cane ! Et sa complice pour l'accompagner...

    Pour le "mais comment tu fais ca?", le principe est assez simple, il "suffit" (!) de créer le motif sur une épaisseur d'environ 1 cm, en amalgamant les différents morceaux du motif et ensuite l'opération magique, usuellement appelé "réduction de la cane", permet par compressions lentes et régulières de transformer le "rondin" d'1 cm de hauteur mais assez large en une cane beaucoup moins large mais beaucoup plus longue. Le motif se réduit en même temps que la cane est compressée. Le résultat est un motif toujours détaillé mais pouvant parfois être réduit à un tout petit diamètre... C'est assez fascinant. A la prochaine cane, je ferais des photos de la réduction. Et d'ici quelques jours je vous montrerais les photos de l'élabaration de cette première cane (elles sont encore prisonnières de mon téléphone, fidèle reporter de mon stage !).

    En attendant, voici celles qui sont plus ou moins bien rangées dans ma boîte en attendant d'autres utilisations...

    Et voici les canes que j'ai fait depuis

    Bon week-end et à bientôt !


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